Pourquoi cette question revient tout le temps
Parce qu'elle touche à deux choses essentielles :
- l'équité
- la liberté personnelle
Il suffit qu'une des deux soit mal gérée, et les tensions apparaissent.
Les modèles classiques (et leurs limites)
Le 50/50
C'est simple... mais parfois injuste si les revenus diffèrent.
Le prorata des revenus
Juste et cohérent.
Mais parfois trop "mathématique" pour certains couples.
"On alterne les paiements"
Pratique mais vite ingérable dès que les montants varient.
"Un prend les charges, l'autre les dépenses courantes"
Convient à certains profils... mais peu flexible.
Le seul vrai critère : l'impact sur chacun
Vous pouvez payer de mille façons différentes.
Ce qui compte, c'est que :
- personne ne se met en difficulté,
- personne ne se sent lésé,
- personne ne finit par accumuler du ressentiment.
Quand une méthode respecte ces trois points, elle est bonne.
Comment trouver la bonne règle pour vous deux
Étape 1 : définir les dépenses "partagées"
Vous seriez surpris : chacun a une définition différente.
Étape 2 : mesurer l'impact, pas la somme
Exemple simple :
- 100 € pour l'un = 4 % de son salaire
- 100 € pour l'autre = 12 %
Le montant ne dit rien de l'effort fourni.
Étape 3 : choisir un modèle flexible
Un système qui accepte :
- des variations dans le mois
- des imprévus
- des dépenses exceptionnelles
Les règles qui ne respirent pas finissent par casser.
Comment Boney simplifie "qui paie quoi"
Sans imposer de modèle :
- vous définissez votre répartition
- Boney applique automatiquement à chaque dépense
- les soldes se mettent à jour sans confrontation
- chacun garde sa part personnelle
C'est fluide.
C'est neutre.
Ça évite les "discussions qui tournent en rond".