Quand l'argent crée un léger malaise
C'est rarement dit à voix haute, mais on le sent :
l'un gagne plus, l'autre moins, et la question flotte dans l'air :
« Comment on fait pour que ce soit juste ? »
Il n'y a pas de bonne ou de mauvaise réponse.
Il y a juste des couples différents... et des manières différentes d'être équitables.
Pourquoi ça peut devenir sensible
Parce que l'argent touche à :
- la valeur personnelle,
- la contribution au couple,
- l'autonomie,
- la peur d'être "à charge",
- ou, à l'inverse, de "trop porter".
Quand on met tout dans un seul pot sans réfléchir, ça crée parfois un déséquilibre invisible.
Trois manières réalistes de répartir quand on ne gagne pas pareil
50/50 (simple, mais pas toujours juste)
Ça marche si les revenus sont proches.
Sinon, ça peut créer un poids pour celui qui gagne moins.
Au prorata des revenus (équitable dans la plupart des cas)
Exemple simple :
L'un gagne 60 %, l'autre 40 %.
Alors on partage dans les mêmes proportions.
C'est souvent la méthode la plus apaisante.
Par rôle ou responsabilité
L'un gère une grosse dépense (loyer),
l'autre prend plusieurs petites (courses, sorties).
Ça marche si chacun s'y reconnaît.
Comment éviter les frustrations
- On ne cherche pas la perfection, on cherche un accord qui fait du bien des deux côtés.
- On peut réviser après 2–3 mois.
- On parle d'équité, pas d'égalité pure.
Comment Boney facilite ce fonctionnement
Un outil peut éviter que les discussions reviennent sans arrêt.
Avec Boney :
- on définit une répartition une fois (50/50, 60/40, etc.),
- elle s'applique automatiquement à toutes les dépenses,
- chacun voit ce qu'il porte réellement,
- personne ne dépend du "bon vouloir" de l'autre.
Ça enlève le poids émotionnel.
Ça laisse la place au couple.
En résumé
L'objectif n'est pas de rendre tout strictement égal.
C'est de trouver un terrain où chacun se sent respecté, libre, et aligné.